L'absence d'amélioration sur les courbes des poissons migrateurs (vannes abaissées depuis 2004) ne stoppent pas le chantier : pourtant, 70% de la démolition est financée par la protection des poissons migrateurs.*
L'abaissement des vannes depuis fin 2004, c'est comme s'il n'y avait pas de barrage : ces courbes sont issues des comptages de LOGRAMI, une grosse association de pêcheurs à la ligne, mandatée pour compter les poissons. LOGRAMI a également milité pour la destruction du barrage mobile,
qu'elle disait favorable au retour des poissons migrateurs.

* 70% de la démolition financée par la protection des poissons migrateurs : 30% par le projet interrégional Loire 2007-2013, programme « eau espace espèces »" et 40% par le « programme d'excellence pour le retour des poissons migrateurs » du FEDER (fonds européen).

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